dimanche 28 juin 2015
mardi 23 juin 2015
La fête à la musique.........
Thomas VDB chante ses aktualiziques... et déclenche un fou rire dans le studio de Si tu écoutes, j'annule tout
Posted by France Inter on lundi 22 juin 2015
dimanche 21 juin 2015
Dans le cochon, tout est bon ! Mais quand c'est vraiment frais.....?
The cleverest prank you will ever see!
What the Hell is Going on at the Supermarket in Brazil?!You can help us to raise awareness by supporting us at: patreon.com/garytvcom
Posted by Best Video You Will Ever See on vendredi 22 février 2013
lundi 15 juin 2015
vendredi 12 juin 2015
La campagne de démocratie participative
Précipitée ?
Le nouveau
bulletin municipal vient d’arriver dans les boites aux lettres et c’est vrai que
malgré la présence de quelques coquilles dans le texte, il est bien coloré !
Beaucoup de photos et, qui plus est, de nous,
les Hazebrouckois, parait-il.
C’est bien de
reconnaitre que la ville d’Hazebrouck,
c’est d’abord les Hazebrouckois et non les quelques élus qui sont censés
nous représenter. Bien sûr, il ne s’agit pas seulement de le dire mais d’agir
en conséquence sinon c’est du storytelling !
Un regret :
sur la couverture, la photo d’un élu qui s’est fait remarquer depuis plus d’un an
pour son sectarisme, son manque de courtoisie et son intolérance sur
Facebook !!!
Il est dommage enfin
de n’être prévenu que le mercredi pour la première « ballade urbaine »
qui aura lieu samedi dans le quartier.
Je n’ai pas
compris non plus pourquoi il était écrit que « les Hazebrouckois
montraient la voie » puisque depuis 2006, la Région Nord Pas-de-Calais a
choisi la participation des citoyens comme axe majeur !
En novembre
2011, trois voies complémentaires ont même été choisies pour développer cette
politique : amplifier le pilotage participatif des politiques régionales,
accompagner des stratégies d’animation locale et renforcer les capacités d’agir
des citoyens.
Si les expériences de démocratie participative
fleurissent à travers le monde, en France, les
habitants restent cantonnés à un rôle consultatif et sont mis devant le fait
accompli.
Donner aux
habitants le pouvoir d'agir est chose fréquente aux États-Unis. C’est l’'«empowerment»
(littéralement prise de pouvoir) qui ont permis aux communautés de faire
pression sur les pouvoirs publics pour faire valoir leurs droits.
Mais malgré les bonnes volontés
apparentes, dans les faits, la place réservée aux citoyens dans le processus de
décision n'a pas beaucoup évolué depuis trente ans.
Dans un rapport datant
de 2011, le Conseil national des villes fait remarquer que
certaines politiques menées relèvent nettement du registre de la «manipulation» car les habitants
sont considérés «comme incapables d'avoir un point de vue argumenté et
réfléchi sur les sujets des politiques publiques. Des démarches infantilisantes ou plus peuvent être observées».
En effet, jusqu'ici, les élus et les techniciens ont souvent considéré la
participation des habitants «comme un moyen au service de l'acceptation
d'une décision, [...mais] pratiquement jamais comme un moyen d’accroître le
pouvoir des habitants sur l'action
publique», souligne le
Conseil d'analyse stratégique (CAS) organisme affilié au Premier ministre, dans
une note publiée début septembre2012.
Et pourtant, comme le souligne le CAS, l'implication des habitants dans le
processus de décision comporte de nombreux avantages.
«Ce mode d'action publique favorise la mobilisation citoyenne, améliore
les relations entre les habitants et les acteurs locaux, et entraîne, en
parallèle, des effets positifs sur la santé mentale, le sentiment d'insécurité
et la satisfaction d'habiter le quartier. Parait-il !
Habitués aux politiques descendantes
(top down) légitimées par l'élection de représentants, les Français peinent à
réaliser que leur rôle de citoyen peut dépasser le cadre d'un bulletin glissé
dans l'urne tous les cinq ans.
La démocratie participative fait peur aux élus :
Sauf que les élus se sentent menacés par la montée en puissance possible de
la démocratie participative. «Ils
sont très attachés à leurs prérogatives et voient d'un mauvais œil toute
atteinte à leur pouvoir. Ils ont l’impression qu'ils sont détenteurs de
l'intérêt général de façon innée». Ils ont donc tendance à freiner le
processus. Pourtant, une confrontation
approfondie avec la population leur fait souvent prendre conscience d'une
réalité difficile à appréhender depuis leur bureau.
L’expression « démocratie participative » est pourtant absurde. Elle relève
du pléonasme. Comment concevoir une
démocratie qui ne soit pas participative par essence ? Comment penser qu’il
soit besoin de rappeler cette évidence selon laquelle le fonctionnement d’un
système démocratique exige un certain degré de participation du peuple à la
détermination des choix collectifs ?
Pour revenir à une association
que je connais bien et qui s’occupe de la
nature et du cadre de vie, ce qui me gêne davantage c’est le fait que depuis plus d’un an, elle a été
volontairement laissée de côté, n’ayant jamais été invitée à une quelconque
cérémonie ou à la rencontre avec le conseiller délégué aux associations !
Comme si cette association n’existait pas ! Or, elle existe depuis 2003 et
s’est impliquée dans le cadre de vie des habitants à plusieurs reprises (Lutte
contre les inondations, défense du square Heckel…). Il ne s’agissait pas
d’organiser une petite rando puis un repas en commun !!!
C’est difficilement croyable mais
elle n’a jamais eu aucun contact et les quelques lettres et mails envoyés n’ont
jamais reçu de réponse. Pour quelles raisons ? Peut-être n’est-elle pas
assez docile ou malléable ?
Bien sûr, elle ne fait aucune
différence entre les catégories sociales, les partis politiques et les idées
religieuses et se contente de défendre
le cadre de vie et la nature de tous les hazebrouckois. (La Nature a bien besoin qu’on l’a défende à
Hazebrouck !)
On ne parle même plus de
démocratie participative mais de démocratie tout court voire de politesse tout simplement !
Deux poids et deux mesures !
Impossible de ne pas parler de
liberté d’expression quand il s’agit de démocratie participative et là encore,
deux cas s’opposent : comment laisser la liberté d’expression aux artistes
de l’Orphéon (dont le spectacle est magnifique !) et ne pas accepter la
liberté d’expression à deux Hazebrouckoises (de tendances politiques
différentes) qui ont choisi de mieux informer les Hazebrouckois et qui vont
sans doute devoir se présenter au Tribunal de Dunkerque le 8 juillet ? Elles
œuvrent pourtant pour la Démocratie ! On juge les gens non sur leurs
paroles mais sur leurs actions et, à Hazebrouck, c’est le calme plat ou tout
juste un léger souffle…
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