lundi 16 septembre 2013

La surprise de la rentrée ou la surprise du chef



Vous savez bien sûr de quoi je vais vous parlez ? Des impôts, mais est-ce vraiment une surprise pour vous ?

C’est toujours pendant les vacances que les grandes décisions sont prises et c’est à la rentrée qu’elles sont appliquées !

Depuis plusieurs jours, si vous lisez le courrier des Lecteurs dans La Voix du Nord, les gens ne font que se plaindre de cette maudite hausse des impôts.

Certains se demandent ce qui se passe dans notre pays : « Un président socialiste qui agit comme le ferait un président de droite, privilégiant les sociétés du CAC 40 qui engrangent des bénéfices, jette son dévolu sur les petites gens en allant chercher des impôts dans le fond de leur porte-monnaie, supprime des « niches fiscales » comme celle qui permettait de défalquer quelques euros si on a un enfant scolarisé ».

Une autre personne écrit « Cela fait plusieurs années que je ne suis plus imposable. Or, cette année, surprise : pour 217 euros de plus sur mes ressources, je me vois imposée de 517 euros. Pour quelle raison ? J’ai 76 ans et j’ai du mal à joindre les deux bouts ».
Pendant qu’on baisse le montant des retraites, pendant qu’on augmente les impôts pour ceux qui en paient, pendant que la CSG augmente et qu’on demande toujours plus d’efforts aux pauvres, y compris à ceux qui ne touchent que le minimum vieillesse, le RSA ou l’AAH, les impôts des sociétés, de ceux qui, déjà, n’en paient proportionnellement que bien moins que vous, baisse de 30 % ! Voilà une « justice sociale » de gôche… qu’ils disent…
Bien sûr, tout le monde doit faire un effort même les plus pauvres mais quand vous voyez la gabegie de dépenses inutiles comme, par exemple, les fêtes à Hazebrouck, ces fameuses festivités qui attirent de moins de moins de monde et on le comprend (trop de fêtes tue la fête et il faut quand même prévoir un minimum de sous pour participer à la fête), on se dit que ceux qui nous gouvernent font n’importe quoi et qu’il faut arrêter de faire les moutons de Panurge !

En attendant, « A votre bon cœur, Messieurs-Dames !!! »

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